20 JUILLET 1831. - Décret sur la presse
Coordination officieuse en langue allemande
Le texte qui suit constitue la coordination officieuse en langue allemande du décret du 20 juillet 1831 sur la presse (Bulletin officiel, Tome IV, n° 185), tel qu'il a été modifié successivement par :
- la loi du 6 avril 1847 qui apporte des modifications au décret du 20 juillet 1831 et au Code d'instruction criminelle (Moniteur belge du 8 avril 1847);
- le Code pénal du 8 juin 1867 (Moniteur belge du 9 juin 1867, err. du 5 octobre 1867);
- la loi du 25 mars 1891 portant répression de la provocation à commettre des crimes ou des délits (Moniteur belge du 26 mars 1891);
- l'arrêté royal n° 301 du 30 mars 1936 portant modification des délais de procédure et de la loi du 28 juin 1889 concernant les exploits à signifier, en matière pénale et fiscale, à des personnes non domiciliées en Belgique (Moniteur belge du 7 avril 1936);
- l'arrêté royal n° 64 du 30 novembre 1939 contenant le Code des droits d'enregistrement, d'hypothèque et de greffe (Moniteur belge du 1er décembre 1939, err. du 13 décembre 1939);
- l'arrêté du Régent du 26 juin 1947 contenant le Code des droits de timbre (Moniteur belge du 14 août 1947);
- la loi du 4 mars 1977 complétant la loi du 23 juin 1961 relative au droit de réponse (Moniteur belge du 15 mars 1977).
Cette coordination officieuse en langue allemande a été établie par le Service central de traduction allemande à Malmedy.
20. JULI 1831 - Dekret über die Presse
Artikel 1 - [...]
[Art. 1 implizit aufgehoben durch Art. 51, 52 und 66 des StGB vom 8. Juni 1867 (B.S. vom 9. Juni 1867, Err. vom 5. Oktober 1867)]
Art. 2 - Wer böswillig und öffentlich die Verbindlichkeit der Gesetze verletzt hat oder unmittelbar dazu aufgefordert hat, sie zu übertreten, wird mit einer Gefängnisstrafe von sechs Monaten bis zu drei Jahren bestraft.
Diese Bestimmung darf die Freiheit der Klage oder der Verteidigung vor den Gerichten oder sonstigen konstituierten Behörden nicht beeinträchtigen.
Art. 3 - Wer böswillig und öffentlich entweder die verfassungsmässige Autorität des Königs oder die Unverletzlichkeit seiner Person oder die Verfassungsrechte seiner Dynastie oder die Rechte oder die Autorität der Kammern verletzt hat [...], wird mit einer Gefängnisstrafe von sechs Monaten bis zu drei Jahren bestraft.
[Art. 3 abgeändert durch Art. 9 des G. vom 6. April 1847 (B.S. vom 8. April 1847)]
Art. 4 - Die gegen öffentliche Beamte oder gegen Träger oder Vertreter der öffentlichen Gewalt oder gegen jegliche...
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